Connaissez vous Pascal Perrot ? (1)

Publié le par Serge

Pascal Perrot avoue des violences sur son blog :
boutonclic.jpg
Début de citation :
Sorry, cher Philippe, mais il n'y a pas marqué sur ce blog "attention fragile ! Poète de 17 ans; Ne pas clasher trop violemment …". Plus sérieusement, à partir du moment où l'on montre ses œuvres à un public quel qu'il soit, on prend le risque de la critique, positive ou négative. Ce qui est le cas lorsqu'on ouvre un blog. Votre ami n'est d'ailleurs pas celui que j'ai le plus violemment déboufé. Asuraya, notamment, a dû avoir les oreilles qui sifflent […]
Pascal Perrot aka Poetic Gladiator
Fin de citation.
 
C’est ce commentaire, ainsi que les réactions des commentateurs qui m’ont conduit à défendre le jeune garçon « clashé » et à chercher quelles personnes Pascal Perrot avait « le plus violemment déboufées ».
 

Mais avant de vous donner les résultats de mes recherches et parce que le respect de la jeunesse passe par la compréhension des devoirs des adultes,
 
Voici une information recopiée sur le site de l’AIPS.
L‘Association Internationale pour la Prévention du Suicide est une Organisation Non Gouvernementale en liens officiels avec l'Organisation Mondiale de la Santé dans le but de prévenir le suicide.
 
Aujourd'hui, tout le monde en convient, l'adolescence est une période particulièrement difficile, une période de contradiction : le jeune veut être autonome mais reste dépendant des adultes, de ses parents. Il souhaite être libre, original, populaire, tout en voulant être rassuré par " les grands ".
Il effectue alors, un va et vient incessant entre le monde de l'enfance et celui de l'adulte. Il subit également, d'importants changements corporels qui vont modifier la perception que ce jeune a de lui-même. Il doit définir également son identité sexuelle.
Des bouleversements normaux mais qui entraînent des angoisses et des anxiétés. Si, il s'y ajoute d'autres difficultés cela peut le conduire à une crise suicidaire.
Dans la majeure partie des cas, on constate qu'avant de mettre fin à ses jours, le jeune a envoyé plusieurs signaux, qu'il a tenté d'attirer l'attention par d'autres comportements Des appels qui n'ont pas été entendus ou qui ont échoué. Face à son impuissance, le suicide devient le moyen ultime de changer la situation qu'il estime invivable, insupportable.
 
(Au cours des colloques de la Journée Mondiale de Prévention du Suicide, juin 2007, une étude a classé les weblogs (Internet) dans les vecteurs utilisés pour signaler leurs angoisses et anxiétés par des adolescents. Il en ressort qu’un webblog est soit une lettre, soit un journal selon sa longueur.  « Un journal intime ouvert dans la salle de bain ».
C’est le cas aussi bien des lettres laissées lors du passage à l’acte, que du journal intime que l’entourage retrouve après le décès.)
 
Voici une autre information sur le même site:
Avec près de 1200 décès par an en France, le suicide est, derrière les accidents de la route, la seconde cause de mortalité chez les jeunes de 15 à 24 ans. Un chiffre probablement bien en deçà de la réalité car certains accidents de la circulation et d'autres morts violentes sont en fait des suicides déguisés. Les tentatives concernent près de 40 000 adolescents par an.
 
Et enfin :
Menée par Phare Enfants Parents en 1997, une étude a dressé un des profils des adolescents suicidaires : « Ils sont beaux, en bonne santé, intelligents, précocement éveillés, avec un bon cursus scolaire. Ils ont des dispositions artistiques pour le dessin, la poésie, la musique, l’expression manuelle et sportive. De nature ouverte aux autres, généreux, ils sont sensibles à la souffrance d’autrui et à la misère du monde ».
 
  
Ces informations ne concernent pas tous les adolescents. Bien évidemment. 
Mais face à un blog dont l’auteur vous est 
inconnu 
et si le style montre qu’il est jeune, un minimum de retenue est nécessaire.
 

Avez-vous déjà découvert un blog abandonné ? Abandonné aux robots informatiques qui le submergent de commentaires publicitaires ?
 
Cliquez sur le lien ci-dessous et découvrez qui a été le dernier à laisser un commentaire sur un texte qui débute ainsi :
 
Un monde poubelle
Où vivons-nous? Ou devrai-je dire
Dans quoi vivons-nous?
Je cris à la délivrance de notre pauvre planète, qui est meurtrie jours après jours par nos conneries.

boutonclic.jpg



Voici le commentaire de Pascal Perrot :
 
Bon d'accord sur le fond, mais c'est un blog journal intime ou un blog de poésie ? Parce que si c'est un blog de poésie, faudrait peut-être songer à travailler la forme, parce que les métaphores volent bas. À force de si mal les soigner, elles vont finir par mourir. Et si tu commençais par lire de grands poètes d'aujourd'hui, comme Tristan Cabral, Werner Lambersy, Serge Sautreau, Karel Logist, Claire Genoux, qui expriment de vraies choses sur le monde qui nous entoure, mais avec un vrai regard, une vraie puissance dans les mots … Tu peux aussi consulter utilement les blogs de la Fée Cabossée, de Anne Archer, le site du Hors Humain ou hors poésie, mais avec un vrai sens du mot qui percute le blog d'Orlando De Rudder. Après ça, tu ne seras plus la même. Un peu d'exigence, que diable !
Pascal Perrot aka Poetic Gladiator
 
 
 
Pascal Perrot connaît certainement toutes les informations que j’ai données plus haut.
Alors à qui s’adresse son commentaire ? Le sait il ?
Pascal Perrot pose la question essentielle (blog journal intime ou blog de poésie ?) mais malgré tout il ne mâche pas ses mots :
« À force de si mal les soigner, elles vont finir par mourir… »
 
« Et si tu commençais par… » 
La culture, tout le monde reconnaît ses bienfaits, mais avoir un avis personnel est ce nul et non avenu ? Il faut penser comment ? Devons nous taire les espoirs et les cris sincères tant qu’on a pas lu les écrivains de la liste? Pourquoi citer une liste de blogs amis et le sien (en lien ) comme références utiles ? Cette incitation à lire tous les blogs de cette liste est elle compatible avec la Protection des Mineurs
 
« Tu ne seras plus la même »… Qui était elle pour Pascal Perrot ? Qui est Pascal Perrot, un maître, un modèle ? 
 
Pascal Perrot écrit sur un autre blog :
boutonclic.jpg


 
Début de citation.
Bon, va falloir que je ralentisse le rythme alors … En librairie même problème que pour les blogs : il faut fouiner, fouiller, parfois longtemps avant de tomber sur une merveille que personne ne met en avant. J'ai eu la chance de tomber sur de grands bonhommes quand j'ai fait émission sur télé libre, en fouinant justement, et qui m'ont fait découvrir des poètes d'importance. Sur les blogs, c'est plus compliqué et je passe parfois des heures à chercher. Beaucoup de daubes infâmes, quelques talents certains mais encore un peu verts et de temps en temps le choc. Rarement mais ça vous récompense de toutes les heures perdues au centuple. Hâte de lire votre poétesse. Cordialement Pascal
Commentaire n° 19 posté par: Pascal Perrot aka Poetic Gladiator
Fin de citation.
 
Les heures perdues à chercher au milieu de daubes infâmes … C'est son opinion. Rien à dire.
Dans une librairie, Pascal Perrot se permet il de balancer les livres qui ne sont pas pour lui des merveilles? 
La justification de cet acte serait ...malaisée, compliquée... 
Pourquoi ne pas laisser en paix des personnes tranquilles dans leur coin si on ne peut pas les aider ou les encourager intelligemment ? 
Pourquoi laisser des commentaires qui peuvent être ressentis comme une violence sur ce qu'il juge mauvais? 
Parce que sur les blogs c'est plus compliqué ?
 
Ou bien... Parce que sur ces blogs... C'est plus facile ?
 
A suivre…
 

 
Messages personnels.
 
1)      J’ai reçu deux commentaires a priori de Pascal Perrot, mais non signés d’une adresse numérique. Donc anonymes.
2)      Elles viennent me voir quand les « attaches de Montpellier » ?


Publié dans Pascal Perrot

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
T
Un moment j'ai eu envie de critiquer un poème de pascal perrot. Et puis non, j'ai eu autre chose à foutre. Il m'a bien déjà fait une remarque désobligeante, mais je crois qu'on a préféré en rester là.
Répondre
O
Je viens de relire: il n'y a rien contre pascal perrot! Le suicide n'a rien à voir avec ça! On a le droit de critiquer un "ppoète" de 17 ans.IL n'y a aucune responsabilité du genre de celle que vous annoncez.;C'est faux! IL n'y a rien et pascal a raison! En aucun cas tancer un jeune homme n presque majeur ne peut ête une incitation au suicide! Serge a tort! e plus la, persone en question et fort surprise de l'horreur des réactions de Serge! <br /> Totu ceci n'et qu'unprétexte pur attaquer des "intellos" et parce que Serge n'a rien compris à ma plaisanterei de l'esthète distingué et du "frémissement palpébral"! Il a tout pris au premier degré!!!! Le CON!<br /> Bref il n'y a aucune ateinte à un "adolescent", rien de rien: juste le critique sévère d'unn poème.*µOn a le droit!<br /> Mintenant que ce point est clair, examinons les messages de Serge! Hi! Hi! <br /> Celui sur le site du policier roland avec l'immonde "vive le viol" est parfait: j'accuse l'auteur et Serge y trouve à redire! Le site n'est toujours pas interdit, hélas, et ne le sera pas, sans doute... <br /> Ce site, d'aileurs, ne peut crtes pas choquer autrement que par sa violence! IL n'est même pas vraiment pornographique!
Répondre
P
Un commentaire est toujours subjectif ; d'ailleurs, dans le genre, les vôtres atteignent des sommets. Non, je ne vous ferai pas le plaisir de vous communiquer mon adresse mail, et vous êtes malvenu pour m'en faire le reproche, vous qui en laissez si souvent de fausses, quand ce n'est pas des adresses blogs fantômes. Le libellé du "monde poubelle" comprenait un nombre conséquent de commentaires élogieux, pour un texte extrêmement médiocre. Est-ce un service à rendre à des poétereaux (cherchez dans le dico) que de leur faire croire qu'ils sont les maîtres du monde" ? Citer mes amis ? Non, juste des gens que j'admire. Je connais très peu le Hors Humain, n'ai rencontré Cabral et Lambersy qu'une fois et si je connais davantage Serge Sautreau. Quant à Karel Logist et Claire Genoux, je ne les ai jamais rencontrés.<br /> Vous oubliez de signaler que 1) le com d'où est parti sur mon blog la polémique disait qu'à 17 ans, on écrivait comme on parle, sans se soucier de travailler ses métaphores. Ce qui est un encouragement à la paresse. Il n'y a pas que Rimbaud. Radiguet, Hugo, Adonis et tant d'autres travaillaient à cet age là leur poésie, et ne se contentaient pas d'écrire à la "va comme je te pousse". 2) le jeune que vous m'accusez d'avoir traumatisé -et qui ne l'est pas, rassurez-vous- écrit en marge de son blog ceci "Pour les critiques, inutile de prendre des pincettes(je ne me vexe pas), tant qu'elles sont constructives." et les miennes l'étaient.<br /> Désolé, mais quand un texte est un alignement constant de clichés et de vers de mirlitons, il m'est difficile de clamer "au génie !".<br /> Asuraya écrit des textes nunuches fortement marqués par un mysticisme délirant (genre Krishna ou Sidha Yoga). Si c'est un (e) adolescent (e), il y a fort à gager qu'elle soit dans une secte. Qu'attendez-vous alors, monsieur sûr de votre bon droit, pour attirer sur lui (elle ?) l'attention de l'UNADFI ou de l'Observatoire des Sectes ?
Répondre